Les ateliers du vendredi matin
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10h30>12h30
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Parentalité et Internet
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Aujourd'hui, 4,5% des 6 millions d'internautes
recensés en France ont moins de 15 ans. De plus
en plus de familles s'équipent et se connectent
sur le Web. Peu à peu naissent de nouvelles
habitudes impliquant de nouvelles attitudes. Pour les
enfants se pose alors la question de l'usage du Net.
Quel rôle doivent jouer les adultes ?
Quelles implications pour l'éducation ?
Faut-il contrôler et filtrer l'usage que font les
enfants et les adolescents de l'Internet ou faut-il
prévenir et dialoguer ? Comment
protéger les mineurs ?
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Ces questions font l'objet d'un dossier
réalisé par le site de l'éthique
Powow.net, dans le cadre d'un partenariat avec l'UNAF.
Elles font aussi l'objet des travaux du groupe de
travail "Protection des mineurs et de la jeunesse", mis
en place en novembre 2000 par la
Délégation Interministérielle
à la Famille (lire dans les dossiers de
powow.net, "Les enfants et le Net: éduquer ou
contrôler ?").
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Animateurs
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Bruno Oudet, professeur à
l'université Joseph-Fourier, auteur avec
Michel Deverge du livre "Internet et famille"
(à paraître),
Jean-Pierre Quignaux, Chargé de Mission "Nouvelles Technologies et Politiques Familiales" à l'UNAF |
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Intervenants prévus
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Parry Aftab, avocate, présidente des
Cyber-Angels (USA)
Luc Machard, Délégué Interministériel à la Famille Alain Elie, direction des technologies nouvelles, ministère de l'Education nationale, et Gilles Braun, Chargé de mission Eric Favey, Délégué général de la Ligue de l'enseignement Monique Sassier, Directrice-adjointe de l'UNAF, Directrice des Recherches, Études et Actions Politiques Jean-Christophe Le Toquin, Délégué général de l'Association française des fournisseurs d'accès (AFA) Dr Marcel Machill, Fondation Bertelsmann, Internet Content Rating Association Ariel Kyrou, responsable du dossier "Contrôle.net ou dialogue.com" de Powow.net Richard Swetenham, Commission européenne |
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Autres intervenants prévus:
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SELL, AOL, Infonie.
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10h30>12h30
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Internet créatif, coopératif et citoyen
(I3C)
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De nombreux réseaux et structures associatives
se sont appropriés les outils de l'Internet pour
dialoguer, échanger des expériences,
mutualiser des connaissances, interpeller. La dynamique
de mise en réseau fait émerger un
collectif qui prend du sens, donne force à des
biens publics, diffuse dans la société,
les territoires, projets, informations ou savoirs.
Alors que la marchandisation de l'"e-society" avance
à grands pas, le développement de ces
réseaux créatifs, coopératifs et
citoyens est un enjeu de société.
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Interventions
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Les interventions de
Gérald Elbaze (Média-cités), Véronique Kleck (Vecam), Olivier Zablocki (Radiophare) à confirmer, Daniel Mathieu (Tela botanica) permettront d'illustrer les questions suivantes: |
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Comment fonctionnent ces réseaux ? Quels
modes d'organisation ? Comment concilier
structures juridiques actuelles (loi 1901) et dynamique
de partage, d'émergence, de
coopération ? Comment y faire vivre une
démocratie participative ? Avec quelles
formes, quels outils ? Comment se
relient-ils ?Quels liens nouveaux
constatons-nous ? Quel est le sens d'une plus
grande ouverture pour des réseaux
déjà structurés ? Comment
sont-ils supports d'innovation, de projets ? La
créativité des uns s'enrichit de celle
des autres et des projets impossibles localement
deviennent possibles globalement. Est-ce que cette mise
en réseau favorise une auto-organisation,
l'émergence d'un sens commun ? Comment est
prise en compte la gestion dynamique de projets ?
De quels outils avons-nous besoin ? Le Web, les
listes de discussion, les forums, les bases de
données, espaces coopératifs
correspondent-ils à cette dynamique des
réseaux ?
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Pouvons-nous dégager des caractéristiques
communes favorisant une création
coopérative et citoyenne ? Comment produire
ces outils ou aménager des briques
existantes ? Comment faire comprendre aux
élus, aux décideurs, la
nécessité d'une autonomie, la pertinence
d'une auto-organisation, l'apport à
l'intérêt commun de ces réseaux
producteurs de biens publics ?
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Débat citoyen, prévention et gestion de
catastrophes, réalisations qui pallient
l'absence de prise en compte pour les institutionnels
ou les services publics, le champ est large. Peut-on
élaborer à partir de nos
expériences des modèles, des
réflexions qui contribuent à un projet de
société ?
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Animation
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Michel Briand, réseau Créatif,
ENST Bretagne, Adjoint au maire de Brest
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10h30>12h30
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Information publique: un accès pour tous
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Le chapitre français de l'Internet society suit
la question des données publiques depuis sa
création. Il a décidé de
créer un groupe de travail en mai dernier,
animé par Stéphane Cottin et
Pierre Mayeur.
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Une première bataille, menée contre la
consultation payante des données juridiques
produites par les pouvoirs publics sur l'Internet, est
en passe d'être gagnée. En effet, le
gouvernement a annoncé le 12 octobre 2000:
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"Un service public de l'accès au droit ayant
pour objet la diffusion gratuite des données
juridiques sur l'internet sera créé. Il
se substituera totalement aux sites actuels
Légifrance et Jurifrance en 2002"
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Au-delà, l'Internet nécessite de repenser
la question des données publiques et de la
replacer dans le cadre plus vaste de "l'information
publique", produite par l'ensemble des acteurs:
ministères, autorités administratives
indépendantes, juridictions,
collectivités locales, etc.
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La diffusion de l'information publique a toujours
été considérée par
l'Internet Society France et par les pionniers de
l'Internet comme un progrès majeur, permettant
de vivifier l'espace démocratique. Cinq ans
après le début de l'expansion du Web en
France, premier bilan et perspectives.
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Animation
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Les responsables du groupe de travail "Information publique" créé en mai 2000 par l'ISOC-France: Stéphane Cottin et Pierre Mayeur. | |
10h30>12h30
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"Identité numérique"
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La multiplication des modes d'accès à
l'Internet (terminaux, canaux, opérateurs...)
pose de plus en plus la question de la
continuité: comment assurer à
l'utilisateur une certaine continuité de sa
"communicabilité" dans l'espace et le temps:
rester joignable, poursuivre dans différents
lieux et contextes un travail ou une transaction en
cours, accéder aux services qu'il a
commandés. Bref, rester "lui-même" en tout
instant, en tout lieu, quel que soit le contexte, quels
que soient les appareils auxquels il a accès.
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Dans ce "système" de communication, on ne trouve
plus le terminal, ni même (en supposant que l'on
parvienne à préserver le modèle
ouvert de l'Internet) l'opérateur, mais la
personne. Mais qui est cette personne ? Comment
(et à qui) la personne prouve-t-elle son
identité pour faire sien un appareil
numérique, accéder à ses services
et informations, signer une transaction ? Enfin,
comment combinera-t-on cette nécessaire
identification, de plus en plus solide, avec la
capacité que recherchent les utilisateurs, de
contrôler leur "joignabilité", de
maîtriser ce qu'ils disent d'eux sur le
réseau, voire de dissimuler ou travestir leur
identité ?
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Intervenants pressentis
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Animation: Daniel Kaplan, FING
Salgues, INT, Laboratoire Critic Jean-Michel Cornu, Gaël Sérandour, FING, groupe de travail "mobilité" Cécile Alvergnat, CNIL |
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10h30>12h30
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Actualités juridiques: brevetabilité des
logiciels, signatureélectronique
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La brevetabilité des logiciels est une question
peu médiatisée, et pourtant cruciale pour
l'avenir du logiciel. Rappelons que les Etats
européens viennent, fin novembre 2000, de
refuser la remise en cause du statut des brevets sur
les logiciels. Le combat n'est pas terminé,
puisque la Commission européenne prépare
une directive sur le brevet et que l'on attend les
résultats de sa consultation sur la question. Le
brevet sur les logiciels est-il indispensable à
la protection des investissements des entreprises ou,
au contraire, une menace sur l'innovation en
matière de logiciels et pour l'Internet ?
Qu'est-ce qui différencie le secteur du logiciel
des autres industries, dont les produits sont
protégés par le brevet ?
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Parmi les réformes législatives de
l'année 2000, la loi du 13 mars 2000 portant
adaptation du droit de la preuve aux technologies de
l'information et relative à la signature
électronique, mérite d'être
soulignée. Florence Schmidt-Pariset,
conseillère technique auprès du Premier
ministre, vient aux Rencontres d'Autrans 2001 pour nous
présenter les derniers textes du gouvernement
sur la signature électronique. Thierry
Piette-Coudol, avocat, interviendra
également sur ce thème.
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Jean-Paul Smets et Pierre Breese feront
le point sur ces questions et l'avancée des
travaux européens.
Michel Vivant, professeur à l'université de Montpellier, dressera un panorama des dossiers ayant marqué l'actualité du droit de l'Internet au cours de l'année 2000. |
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Animateurs
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Sébastien Canevet et Valérie
Sedaillan, Commission Juridique de l'ISOC France.
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Intervenants
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Michel Vivant, professeur de droit à
l'université de Montpellier I
Florence Schmidt-Pariset, conseillère technique auprès du Premier ministre pour la société de l'information Thierry Piette-Coudol, avocat Jean-Paul Smets, membre de l'AFUL, association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres Pierre Breese, conseil en propriété industrielle |
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A lire
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La contribution de l'Isoc-France en réponse
à
la Consultation de la Direction
Générale du Marché
Intérieur de la Commission Européenne
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